En écrivant cette chronique, je me rends compte que, plus on avance dans cet album,
plus la noirceur et la mélancolie s'installent. Une manière d'exprimer qu'à l'époque, j'ai
été marqué par la disparition brutale et accidentelle d'un de mes meilleurs amis,
renversé par une voiture. Tout l'album lui est dédié, et conçu en son hommage. Cette
sixième et dernière partie, avec son rythme de marche funèbre imposé par l'orgue, a
quelque chose du requiem, du dernier adieu... Pour moi le meilleur titre de L'Enfant.