Pas de commentaire particulier sur les titres proposés, sinon que ce sont mes préférés de l'album - et que le
choix a été difficile !
Coup de coeur personnel pour deux titres que j'affectionne beaucoup et qui sortent un peu de l'ordinaire :
"Tears of Soul" et "It sounds like Spring".
choix a été difficile !
Coup de coeur personnel pour deux titres que j'affectionne beaucoup et qui sortent un peu de l'ordinaire :
"Tears of Soul" et "It sounds like Spring".
Etonnant de constater, a posteriori, que certains schémas se répètent. En fin de compte, mon
investissement dans le projet Anamorphoses a obéi à la même logique que celle ayant présidé à la
composition des Variations Synthétiques, trois ans plus tôt. Après un album très personnel, ayant une forte
influence sur ma manière d'inventer de la musique (Cécilian dans le premier cas, le Manoir de Cécilian dans le
second) et un petit projet de transition mais à forte implication émotionnelle (Amity ; Zacharie), j'ai ressenti
le besoin de me réfugier dans une certaine forme d'abstraction pour, en quelque sorte, me libérer et laisser
le plaisir de la musique reprendre ses droits.
Anamorphoses est donc parti de rien, ou presque. D'une attente, peut-être, celle du nouvel album de Jean
Michel Jarre annoncé pour début 2000, Métamorphoses - curieusement, c'était aussi le cas pour les
Variations, avec la sortie simultanée en 1997 d'Oxygène 7-13. Et dans la foulée de sa sortie, d'une déception,
qui explique la tonalité "jarrienne" de certains titres : "Sixième Sens" ou "Madness on the Web", par
exemple. Raisonnement simple : puisque Jarre ne sait plus faire du bon Jarre (et ne fait pas grand-chose de
neuf à la place), je vais m'amuser à en faire à sa place !
Le titre de mon album est, bien entendu, une référence à celui de Jarre... légèrement ironique, peut-être ?
Cependant, Anamorphoses ne se résume pas à cela, loin s'en faut. C'est un album qui m'a pris par surprise.
Il s'est installé petit à petit, morceau par morceau, créant presque de lui-même un son commun, bien
qu'abordant des rythmes et des sonorités relativement différentes de ce que j'avais pu faire auparavant. Au
bout du compte, c'est l'un de mes disques favoris. Un vrai disque de pop électronique, vivant, varié,
énergique. Doté d'une certaine pureté libératrice.
investissement dans le projet Anamorphoses a obéi à la même logique que celle ayant présidé à la
composition des Variations Synthétiques, trois ans plus tôt. Après un album très personnel, ayant une forte
influence sur ma manière d'inventer de la musique (Cécilian dans le premier cas, le Manoir de Cécilian dans le
second) et un petit projet de transition mais à forte implication émotionnelle (Amity ; Zacharie), j'ai ressenti
le besoin de me réfugier dans une certaine forme d'abstraction pour, en quelque sorte, me libérer et laisser
le plaisir de la musique reprendre ses droits.
Anamorphoses est donc parti de rien, ou presque. D'une attente, peut-être, celle du nouvel album de Jean
Michel Jarre annoncé pour début 2000, Métamorphoses - curieusement, c'était aussi le cas pour les
Variations, avec la sortie simultanée en 1997 d'Oxygène 7-13. Et dans la foulée de sa sortie, d'une déception,
qui explique la tonalité "jarrienne" de certains titres : "Sixième Sens" ou "Madness on the Web", par
exemple. Raisonnement simple : puisque Jarre ne sait plus faire du bon Jarre (et ne fait pas grand-chose de
neuf à la place), je vais m'amuser à en faire à sa place !
Le titre de mon album est, bien entendu, une référence à celui de Jarre... légèrement ironique, peut-être ?
Cependant, Anamorphoses ne se résume pas à cela, loin s'en faut. C'est un album qui m'a pris par surprise.
Il s'est installé petit à petit, morceau par morceau, créant presque de lui-même un son commun, bien
qu'abordant des rythmes et des sonorités relativement différentes de ce que j'avais pu faire auparavant. Au
bout du compte, c'est l'un de mes disques favoris. Un vrai disque de pop électronique, vivant, varié,
énergique. Doté d'une certaine pureté libératrice.
Les titres en vert sont disponibles à l'écoute.
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Composé, interprété, réalisé et produit par Tim Elliott
Claviers : Yamaha PSR-510, Korg X5DR, Casio MA-101
Enregistrement : juin 2000
Durée totale : 40'38
Claviers : Yamaha PSR-510, Korg X5DR, Casio MA-101
Enregistrement : juin 2000
Durée totale : 40'38
SUR L'ALBUM
par Tim Elliott
par Tim Elliott
FICHE TECHNIQUE
CHOIX DES TITRES A
L'ECOUTE
L'ECOUTE
Anamorphoses : ouverture
1.59
Anamorphoses part 1
2.09
Anamorphoses part 2
3.18
War, Faith and Devotion
3.41
Tears of Soul
5.49
Sixième Sens
5.56
The Child rocked by the
Tempest
2.16
Past and Now
5.52
Madness on the Web
4.22
It sounds like Spring
5.12
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Anamorphoses
Tim Elliott, 2000
Timian Prod.
