Sous l'influence de Mike Oldfield plus que de Mark Snow, "First Reflection" n'est pas forcément le titre le plus
représentatif de l'album : c'est sûrement pour cela que je l'ai choisi ! Pour autant ce morceau, composé trois
ans après les autres, m'a toujours semblé à sa place ici.
En revanche, "Fifth Reflection" est davantage dans le ton général... bien qu'influencé en partie par l'album
Mask, de Vangelis !
représentatif de l'album : c'est sûrement pour cela que je l'ai choisi ! Pour autant ce morceau, composé trois
ans après les autres, m'a toujours semblé à sa place ici.
En revanche, "Fifth Reflection" est davantage dans le ton général... bien qu'influencé en partie par l'album
Mask, de Vangelis !
Quatre des six titres de cet album ont été composés en réalité en 1996, à peu près au même moment où je
commence à travailler sur Amity. Ils s'inscrivaient alors dans la même logique qui me fera composer les
Variations Synthétiques : la recherche d'un son nouveau, d'approches musicales radicalement différentes,
après le virage primordial pris avec Cécilian. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le pari était tenu !
A l'époque, The X-Files : Reflections me semble honnête et convenable, mais... C'est un peu étrange à dire,
mais j'ai le sentiment d'être en avance sur mon propre temps. De la même manière que la série amorce un
changement considérable dans la façon de concevoir, de produire et de réaliser des films pour la télévision -
les agents très spéciaux Mulder et Scully sont, sans aucun doute, les grands frère et soeur bienveillants des
nombreuses séries qui envahissent nos écrans aujourd'hui, avec plus ou moins de bonheur.
Revenons-en à l'album. Par souci d'honnêteté, je dois avouer que ce n'est pas tant la série elle-même (dont
je suis évidemment fan, en tout cas à ses débuts) que sa bande originale qui m'inspire ces "reflections" - le
terme anglais permettant un jeu de mots exclu en français : il signifie "réflexion" à la fois au sens intellectuel
et au sens physique - le reflet du miroir. Son auteur, Mark Snow, invente un mode de narration musicale qui,
outre sa participation active à l'atmosphère singulière de X-Files, m'apparaît alors comme une création
totalement inédite, fascinante et souterraine, riche et contrastée.
C'est donc sur les traces de Mark Snow que j'entreprends de repousser une nouvelle fois les limites de mon
pauvre PSR-510. Une fois les quatre premiers titres rapidement composés, un vrai doute me saisit quant à
l'intérêt et la légitimité du projet. Plutôt que de m'acharner, comme j'ai déjà pu le faire dans le passé, je
préfère le laisser de côté, histoire de voir s'il peut mûrir dans son coin.
Trois ans plus tard, Le Manoir de Cécilian et surtout Zacharie, dont l'atmosphère est proche, sont passés par
là. J'ajoute aux quatre morceaux initiaux l'ouverture de l'album, puis une reprise du célèbre thème principal
de la série. Il est temps pour The X-Files : Reflections de voir le jour !
commence à travailler sur Amity. Ils s'inscrivaient alors dans la même logique qui me fera composer les
Variations Synthétiques : la recherche d'un son nouveau, d'approches musicales radicalement différentes,
après le virage primordial pris avec Cécilian. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le pari était tenu !
A l'époque, The X-Files : Reflections me semble honnête et convenable, mais... C'est un peu étrange à dire,
mais j'ai le sentiment d'être en avance sur mon propre temps. De la même manière que la série amorce un
changement considérable dans la façon de concevoir, de produire et de réaliser des films pour la télévision -
les agents très spéciaux Mulder et Scully sont, sans aucun doute, les grands frère et soeur bienveillants des
nombreuses séries qui envahissent nos écrans aujourd'hui, avec plus ou moins de bonheur.
Revenons-en à l'album. Par souci d'honnêteté, je dois avouer que ce n'est pas tant la série elle-même (dont
je suis évidemment fan, en tout cas à ses débuts) que sa bande originale qui m'inspire ces "reflections" - le
terme anglais permettant un jeu de mots exclu en français : il signifie "réflexion" à la fois au sens intellectuel
et au sens physique - le reflet du miroir. Son auteur, Mark Snow, invente un mode de narration musicale qui,
outre sa participation active à l'atmosphère singulière de X-Files, m'apparaît alors comme une création
totalement inédite, fascinante et souterraine, riche et contrastée.
C'est donc sur les traces de Mark Snow que j'entreprends de repousser une nouvelle fois les limites de mon
pauvre PSR-510. Une fois les quatre premiers titres rapidement composés, un vrai doute me saisit quant à
l'intérêt et la légitimité du projet. Plutôt que de m'acharner, comme j'ai déjà pu le faire dans le passé, je
préfère le laisser de côté, histoire de voir s'il peut mûrir dans son coin.
Trois ans plus tard, Le Manoir de Cécilian et surtout Zacharie, dont l'atmosphère est proche, sont passés par
là. J'ajoute aux quatre morceaux initiaux l'ouverture de l'album, puis une reprise du célèbre thème principal
de la série. Il est temps pour The X-Files : Reflections de voir le jour !
Les titres en vert sont disponibles à l'écoute.
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Composé, interprété, réalisé et produit par Tim Elliott
Sauf *: "Materia Primoris : The X-Files Theme" de Mark Snow / arrangements : Tim Elliott
Clavier : Yamaha PSR-510
Enregistrement : juillet 1999
Durée totale : 27'11
Sauf *: "Materia Primoris : The X-Files Theme" de Mark Snow / arrangements : Tim Elliott
Clavier : Yamaha PSR-510
Enregistrement : juillet 1999
Durée totale : 27'11
SUR L'ALBUM
par Tim Elliott
par Tim Elliott
FICHE TECHNIQUE
CHOIX DES TITRES A
L'ECOUTE
L'ECOUTE
First Refllection
4.04
Second Reflection*
3.26
Third reflection
8.42
Fourth Reflection
3.07
Fifth Reflection
3.43
Sixth Reflection
3.56
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The X-Files : Reflections
Tim Elliott, 1999
Timian Prod.
