Voici un album qui ne nécessite pas de long commentaire : tout est dans les titres, celui du disque annonçant le choix de ceux des morceaux.
C'est le plus bref de mes projets, ce que justifie son caractère intimiste, mais pas seulement. C'est avec cet album que je me remets au travail, après une première longue période d'inactivité totale. La "faute" au précédent, Cécilian, dont l'achèvement m'avait pour la première fois totalement contenté, au point de m'autoriser à me reposer sur mes lauriers - façon de parler, bien entendu. Sur le même thème mais décliné de manière différente, Amity en est une sorte de prolongement.